L’aventure

“Rien n'est plus fort qu'une idée dont l'heure est venue.”

Le Re’n’Art, pourquoi ?

  • “Re” pour Ressourcerie, Restaurant, Recyclage, Réutilisation, Renaissance, etc.
  • “Art” pour la plus-value artistique qu’on aimerait avoir le temps de donner à certains objets dans le cadre d’une customisation (le fameux upcycling !)
  • “n’ ” pour la dimension Rock’n’Roll qui nous est si chère.

Et l’ensemble se prononce comme bon vous semble !

Il était une fois... un gros cargo qui se voulait pirogue...

Après quatre années de montage intensif, à l’aube d’un époustouflant confinement, le Re’n’Art est passé du stade de projet à celui de pôle territorial.

Le Re’n’Art est né en 2017 de l’idée de bâtir des ponts entre les mondes environnemental, social et artistique. Il s’agissait de construire collectivement un lieu collaboratif d’échange et de rencontre pour la promotion d’une consommation respectueuse de l’environnement et socialement durable.

Un rêve présent dans la tête de la fondatrice depuis longtemps… qui s’est concrétisé lors de l’organisation en 2018 d’un gros événement, dont le but était de simuler (à petite échelle bien entendu) ce futur lieu, assez difficile à imaginer pour beaucoup d’entre nous. Résultat : 500 participants et naissance de la première équipe du Re’n’Art.

Ce rêve est devenu beaucoup plus réaliste (et légitime) après avoir été, sous statut associatif, l’un des 44 Lauréats du concours lancé par le Ministère de la Transition Ecologique.

Depuis 2019, l’association est devenue une société coopérative d’intérêt collectif et a pu acheter son futur lieu d’activité grâce à ses associés et financeurs. Les travaux de rénovation se sont achevés en mars 2020. Malheureusement, l’activité du Re’n’Art a été stoppée dans son élan par le premier confinement. La réelle ouverture n’a pu avoir lieu qu’en mai 2020, date à laquelle l’entreprise a obtenu l’agrément IAE par la Direction du Travail (DDETS). Dans le cadre de cette mission d’insertion, le Re’n’Art travaille en partenariat avec les acteurs sociaux du territoire.

Ce projet s’est depuis développé et l’activité de cette nouvelle entreprise d’insertion est en plein essor; autour de 3 pôles : ressourcerie, resto ainsi que des ateliers et événements.

Il y a de quoi s’occuper…

Objectifs ?

  • Réduire les “déchets” sur le territoire
  • Promouvoir les approches environnementales
  • Créer du lien social
  • Et bien entendu, créer des emplois…

… tout en permettant d’accueillir des publics mixtes en vue d’un décloisonnement, nécessaire et vital pour les publics en difficulté.

La structure même de notre coopérative est destinée à cet entrelacs : des salariés en insertion et des permanents, des jeunes sous main de justice, des lycéens en classe ou seuls, des stagiaires envoyés par la MLI, le GRETA, l’ARDAM, etc., des personnes en détresse sociale (handicap, troubles psychiques) ou en reconversion professionnelle, des bénévoles en recherche d’emploi, des bénévoles retraités de l’éducation nationale en quête de liens sociaux, des cadres impliqués dans le comité de pilotage, des bénéficiaires des minima sociaux en recherche de « cadre ».

Bref, des rencontres dynamiques qui favorisent l’émergence de compétences tout en faisant parfois renaître l’estime de soi. Soigner l’exclusion par l’inclusion. Ce qui fonctionne également en terme d’insertion par l’activité économique: un cadre de travail avec différents collaborateurs, différents enjeux.